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Pas de peur, pas de haine, mais de la tristesse...
Rester debout.
Ce qui s'est passé hier nous ramène onze mois plus tôt... Je ressens de la colère pour les assassins, de la tristesse pour les victimes et leurs familles, mais je me refuse à verser dans la haine. Je ne l'ai pas fait le 7 janvier dernier, je ne le ferai pas aujourd'hui, ce serait céder devant les intégristes de tous poils.
Ce serait renoncer à mon humanité.
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