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Clint, hier et aujourd'hui...
Du "jeune premier" lisse à l'homme qu'il est devenu.
Clint Eastwood dans les années 50/60 ressemblait à tous les acteurs en devenirs : l'image d'Épinal du jeune premier américain. Je reconnais qu'il est beau, mais il semble "creux", vide, sans substance. Comme tout "prince charmant" qui se respecte, en somme...
Mais le Clint d'aujourd'hui, avec ses 85 ans et les 60 ans de cinéma derrière lui, ça, c'est du solide, du puissant, du "mâle" !
Personnellement, je le trouve superbe sur cette couverture de "Studio Ciné Live", d'ailleurs, j'ai acheté le magazine rien que pour cette photo...
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Commentaires
3DANIELJeudi 5 Février 2015 à 21:07" Creux,vide, sans subtance "...ouh la..la ! Tu confondrais pas avec M. Pokora , par hasard ! Eastwood avait déjà la classe étant jeune , dans " Rahwide" il dénote complètement par rapport a ses partenaires . Eastwood , comme Jean Marais ou encore Alain Delon , avait le facteur x très jeune déjà et il l a gardé car des plus beaux que lui dans les années 50 il y en avait un paquet...
4FJWalkJeudi 5 Février 2015 à 22:03Je crois que c’est son rôle dans la série qui était « creux, vide, etc. », car dans les quelques épisodes où il avait le rôle principal, il était déjà égal à lui-même. J’ai en mémoire un épisode en particulier où il affronte un déserteur joué par Woody Strode.
Quand je parle de "creux, vide, sans substance", je faisais référence à son physique, qui ressemblait à l'époque à celui de tous les jeunes premiers d'Hollywood.
J'avoue que je n'ai vu aucun épisode de Rawhide jusqu'à très récemment, quand j'ai trouvé celui avec Bronson sur "Youtube"... Et on ne peut pas dire qu'Eastwood y ait un rôle prépondérant...
Hum... je sens que je vais me faire enduire encore une fois de goudron et de plumes, moi... Ne pas avoir vu Rawhide....
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Sans faire de publicité il y a aussi un article plutôt politiquement correct sur le dernier "Vanity Fair " qui m'est tombé sous les yeux chez le dentiste...avec de bonnes photos qui confirment l'élégance du vieux séducteur. On a, dit on, avec l'âge grandissant, la tronche que l'on mérite, Clint Eastwood n'échappe pas à cette règle, en bien, en l’occurrence.