Boy fait sa crise d'adolescence...

Alors que Tarzan (Johnny Weissmuller) et Boy (Johnny Sheffield) descendent la rivière pour rejoindre Jane (Brenda Joyce) de retour d'Angleterre, ils voient une jeune Amazone poursuivie par deux panthères. Notre homme singe va lui sauver la vie, et, interdisant à son fils de le suivre, la ramène vers son peuple. Bien entendu, Boy va désobéir et découvrir le chemin qui mène à la cité secrète de Palmyra...

Pendant ce temps là, Jane a rencontré un groupe d'archéologues. Lorsqu'elle retrouve son compagnon et son fils, la terrible Cheeta lui donne un bracelet en or pur qu'elle a dérobé à l'Amazone. Ce bijou va intéresser les scientifiques mais pour des raisons diverses...

Tarzan et les Amazones (1945) de Kurt Neumann est un film où Boy, comme dans le film Le Secret de Tarzan, a un rôle plus développé et se retrouve au centre du problème. Le petit garçon est devenu un adolescent boudeur et pressé de désobéir à son père, et l'aventure qu'il va vivre va lui coûter très chaud...

Notre amie Cheeta va, une nouvelle fois, tirer la couverture à elle en se retrouvant aux prises avec un poisson, des bâtons de dynamite et une loupe. Là encore, le film s'achève sur un gag de notre simiesque gaffeuse.

Tarzan et les amazones est donc un film qui s'inscrit dans la catégorie "exotisme et naïveté scénaristique", et se présente comme un honnête film d'aventure qu'on oublie très vite.