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Les mains de Charles...
Un "fétichisme" de la main ?
Je viens de regarder sur "You Tube" les deux excellents épisodes de la série Alfred Hitchcock Presents réalisés par Robert Stevenson et mettant en scène notre ami Charles Bronson.
Ainsi, "And so died Riabouchinska" flirt avec le fantastique (le scénario est signé Ray Bradbury), et dans "There was an old woman", Estelle Winwood joue avec talent une vielle dame un peu folle mais pas si bête que cela face à un escroc joué par Charlie.
Mais ce qui est étonnant, c'est la façon dont Bronson apparait à l'écran dans ces deux téléfilms : en effet, la première chose qu'on voit de lui...c'est ses mains ! Ainsi, dans "Riabouchinska", il prend des notes tout en buvant un café, et dans "old woman", il s'attaque à son petit-déjeuner avec entrain.
Curieuse façon d'aborder un personnage... Il serait intéressant de voir si d'autres réalisateurs ont donné également une telle importance aux "battoirs" de l'acteur. À noter, d'ailleurs, que la première image d'Adieu l'ami montre la main de 'Franz Propp' glissant une pièce de monnaie dans un verre de whisky...
Affaire à suivre, donc...
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Commentaires
Oui, exact ! Et dans Le Passager de la pluie, sa main tiens le journal qu'il fait passer jusqu'à Marlène Jobert... Et je me demande si dans la séquence pré-générique du film Le Flingueur, ce ne sont pas ses mains qu'on voit le plus...
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On voit sa main tenant l’harmonica avant de voir ses yeux dans « IL ÉTAIT UNE FOIS DANS L’OUEST ».