• Hommage à Hugh Hefner.

    Hugh nous a posé un lapin...

    Hommage à Hugh Hefner.En apprenant ce matin la disparition de Hugh Hefner, fondateur du magazine "Playboy", j'ai été partagée : devais-je en parler sur Ana'Blog ? La question s'est posée pour moi car, même sans avoir lu un seul de ses numéros, je sais que ce périodique a des liens souvent étroits avec le cinéma, ne serait-ce que parce que beaucoup d'actrices - et quelques acteurs - ont été en "une".

    Des scénaristes et des réalisateurs ont également collaboré à "Playboy", en écrivant des articles ou en livrant des interviews. Je peux donc en déduire que Hollywood doit beaucoup à ce magazine, et vice-versa.

    J'ai donc pris la décision de réaliser un hommage à ce personnage haut-en-couleur, décrié et admiré, qui vient de s'éteindre à 91 ans dans son célèbre manoir de Berverly Hills.

    Voici donc quelques "unes" célèbres du magazine, à commencer par le premier numéro inauguré par Marilyn Monroe...

    Hommage à Hugh Hefner.Hommage à Hugh Hefner.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Hommage à Hugh Hefner.Hommage à Hugh Hefner.

     

     

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  • Commentaires

    1
    Kinskiklaus
    Jeudi 28 Septembre 2017 à 12:29

    Hugh Hefner a toute sa place ici, et comment ! Le magazine a souvent été réduit à ses filles dénudées, une révolution pour l'époque, mais il ne faudrait pas oublier que durant son âge d'or, il recelait des trésors d'interviews avec tous les plus grands artistes que le monde a compté durant ces 60 dernières années. Écrivains, cinéastes, acteurs, tout le monde est passé dans ce magazine, même Kubrick. Et je ne parle pas de petites interviews médiocres, non, je parle parfois de grandes interviews qui parlaient de tout sauf de sexe. Playboy, jusqu'aux années 80 était un magazine unique qui alliait plaisir et intelligence.

      • Jeudi 28 Septembre 2017 à 14:29

        Des interviews de Martin Luther King, Malcom X ou John Lennon, mais aussi de George Lincoln Rockwell, le fondateur du "parti nazi américain", des articles signés des célèbres sexologues Masters et Johnson, des nouvelles de Ian Flemming, Vladimir Nabokov ou Margareht Atwood (auteur de "La Servante écarlate")...

        "Playboy" fut un condensé de la culture, de la société et de la politique anglo-saxonne des années 60 et 70.

    2
    Kinskiklaus
    Jeudi 28 Septembre 2017 à 15:56

    La liste est interminable. INTERMINABLE ! yes

    3
    Jeudi 28 Septembre 2017 à 18:28

    L'ami Fred vient de lui rendre hommage, l'occasion pour moi d'apprendre l'existence de Caligula, film de Tinto Brass produit par Hugh Hefner : de grands noms du cinéma britannique et une aura sulfureuse, apparemment...

    Rectification : Hugh Hefner a produit Macbeth, de Roman Polanski, et non Caligula... mais ce second film m'intrigue.

    4
    Kinskiklaus
    Jeudi 28 Septembre 2017 à 20:10

    Jicop a corrigé depuis: C'est "Macbeth" de Polanski qui fut produit par Hefner . Chez l'ami Fred, on est en train de rendre un sacré hommage à Hugh. Interdit aux filles ! wink2

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    5
    FJWalk
    Jeudi 28 Septembre 2017 à 21:24

    « CALIGULA » est une drôle de chose : de grands acteurs classiques anglais (O’Toole, Mirren, Gielgud) jouent au milieu des figurants en train de copuler (réellement !), Malcolm McDowell est complètement hystérique, les scènes pornographiques abondent, surtout dans le « director’s cut ». Mais qu’est-ce que c’est laid et mal filmé ! Et ennuyeux... 

      • Jeudi 28 Septembre 2017 à 21:32

        Merci de ces renseignements, Fred. Du coup, je suis moins intriguée par ce film...

    6
    Kinskiklaus
    Jeudi 28 Septembre 2017 à 21:34

    Ah ça oui, "Caligula" est unique en son genre. Nul. Mais unique. Rien ne va dans ce film, même la date de sortie : 1979. Une date qui ne représente rien dans l'histoire. Tourné dix ans plutôt, ça aurait eu tout son sens. Et c'est vrai que c'est mal filmé, pourtant, Tinto Brass est un réalisateur de talent quand il oeuvre dans l'érotisme pur dans des films comme "La clef". Bref, "Caligula", cela reste une énigme pour moi. Malgré sa qualité médiocre, le film a acquis un statut de film culte auprès de cinéphiles bis. Et l'apparition d'Internet n'a fait qu’accroître sa popularité. C'est nul mais c'est à voir au moins une fois dans sa vie.

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