• Bon appetit !

    Humour... noir !

    Après les veaux aux hormones, après les boeufs nourris aux farines animales, après les poulets atteints de la grippe aviaire, voici les oeufs aux insecticides :

    On nous fait gober n'importe quoi !

    Je me demande ce que l'industrie agro-alimentaire nous fera avaler la prochaine fois...

    On nous fait gober n'importe quoi !

     

     

    « Bon courage, Klaus !Adieu, Jerry Lewis »

  • Commentaires

    1
    Kinskiklaus
    Dimanche 13 Août 2017 à 09:59

    De toute façon, si on se mettait à fouiner vraiment dans les pratiques de l'industrie agro-alimentaire, beaucoup de scandales éclateraient. Faut pas se leurrer, comme l'aurait dit si justement feu Jean-Pierre Coffe, "c'est de la merde !". Concernant les œufs, moi, je suis peinard, j'ai une poule dans mon jardin qui m'en délivre sainement chaque semaine.  Un bon œuf à la coque, voilà un plaisir simple de la vie dont je ne pourrais me passer. Bon long week-end du 15 août, Val ! 

    2
    Lundi 14 Août 2017 à 13:29

    Tout le monde sait depuis longtemps que la prévalence des cancers est due à quatre vingt pour cent à la nutrition et aux ravages des pollutions, mais toucher à quoi que ce soit entrainerait des transformations et, politiquement, le chantage à l'emploi marche à plein régime et il ne faut surtout rien changer. Jusqu'au jour où l'addition sera tellement salée que les mêmes qui encouragent le satu-quo trouveront le moyen de faire de l'argent avec la prévention et alors, ô miracle, tout s'assainira comme par enchantement...pour l'instant, nous n'y sommes pas.

    3
    Lundi 21 Août 2017 à 16:39

    Entièrement d'accord avec vous deux !

    Mon côté misanthrope me souffle régulièrement qu'un jour, l'humanité aura une très mauvaise surprise si ce n'est déjà fait, d'ailleurs : les maladies cardio-vasculaires sont en augmentation, tout comme les allergies diverses et les cancers.

    Je suis persuadée que bientôt une épidémie ravagera nos sociétés de consommation, un truc né dans nos élevages en batterie ou nos monocultures surchargées de pesticides.

    S'il pouvait y avoir une "révolution des consommateurs" ! Mais je sais qu'au fond, nous sommes tous trop impliqués dans cette nouvelle "chaine alimentaire" (les industriels "bouffent" les consommateurs) pour risquer de perdre nos apports quotidiens en grasses, sucres, et antibiotiques !

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