• Affiches affreuses : Twinky, encore !

    Lola, Lola.

    Vous le savez, les amis, Twinky est l'un de mes films préférés. Et j'aime particulièrement ses affiches promotionnelles et ses jaquettes vidéo, qui témoignent assez de son caractère détonnant dans la filmographie de Charles Bronson. On sent que les illustrateurs sont dubitatifs quant à ce véritable "ovni" dans la carrière de l'acteur : comment vendre un film contant l'histoire d'amour entre un écrivain quadragénaire de romans porno et une nymphette anglaise et mettant en vedette un "tough guy" ?

    Il y a donc ceux qui misent sur des portraits de Bronson venant de ses anciens films (en l'occurrence, La Grande évasion et Les 12 Salopards), où, comme dans le film de Richard Donner, il n'a pas de moustache.

     

    Affiches affreuses : Twinky, encore !

    D'autres font dans le style un peu "borderline", avec une jeune fille en (pseudo) uniforme anglais, dans une pose assez ambigüe et devant le titre du film écrit à la peinture sur un mur.

    Douteux...

     

    Affiches affreuses : Twinky, encore !

     

     Enfin, il y a le symbolisme : le pont en premier plan (l'amour unissant un américain et une anglaise ?), le portrait dessiné de l'acteur relativement jeune (copié sur une photo de Man with a camera apparemment) et enfin l'image de Susan George dans un coucher de soleil (sublimation de l'amour ou souvenir qui hante le héros à la fin du film ?)

    Au fait : si le film est parfois titré Lola, c'est qu'aux États-Unis, il est connu sous ce nom, en référence au livre de Nabokov "Lolita".

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