• Adieu, Annie Cordy

    Elle n'était pas qu'une "chanteuse rigolote".

    Adieu, Annie Cordy"La Bonne du curé", "La Bébête", "Tata Yoyo".... Que de souvenirs d'enfance devant la télé, à regarder les émissions "de variété".  Mais il y a eu aussi les rôles, d'abord dans les opérettes, puis dans les films, des séries et des téléfilms, où la "rigolote" changeait parfois de registre et nous émouvait.

    Annie Cordy vient de nous quitter à l'âge respectable de 92 ans.

    Née Léonie Coorman le 16 juin 1928 à Laeken dans la banlieue de Bruxelles, elle apprend la danse et le solfège, se produit très tôt dans des concours de chant et dans des galas de bienfaisance, est remarquée par le directeur du "Lido" et arrive à Paris en 1950.

    Ensuite, tout s'enchaine pour la plus française des artistes belges : meneuse de revue, chanteuse "comique", elle joue dans des opérettes aux côtés de Georges Guétary et Bourvil, avant d'apparaitre à l'écran dans Si Versailles m'était conté de Sacha Guitry.

    Puis ce sont des films, des comédies en premier lieu, mais ensuite viennent des œuvres plus dramatiques, comme Le Passager de la pluie où elle interprète la mère de Marlène Jobert, Le Chat, où elle est une ancienne maîtresse de Jean Gabin, et plus récemment dans Les Souvenirs de Jean-Paul Rouve, où elle joue une grand-mère fugueuse.

    R.I.P.

    « Soit dit en passantNicky Larson et le parfum de Cupidon (2018) »

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :